L'argent, un atout méconnu pour votre portefeuille
Souvent éclipsé par l’or, l’argent connaît une envolée impressionnante en 2025. Plus accessible, adossé à des usages industriels stratégiques, il séduit investisseurs particuliers et professionnels. Dans un contexte de transition énergétique et de tensions géopolitiques, le métal gris gagne en légitimité comme actif patrimonial.
Le compte d'associé : une solution de financement séduisante pour les dirigeants
Souvent perçu comme une mécanique technique, le compte courant d’associé retrouve aujourd’hui une attractivité particulière. Dans un contexte de taux plus élevés et de financement bancaire sélectif, il constitue un levier discret mais puissant pour consolider la trésorerie d’une PME sans bouleverser la structure du capital. Encore faut-il en maîtriser les règles fiscales et patrimoniales.
Les retards de paiement : un signal d'alarme pour les investisseurs en entreprises.
Selon le dernier baromètre d’Altares, la France enregistre 14,1 jours de retard moyen dans le règlement des factures, contre 13,5 jours fin 2024. C’est la plus forte dégradation d’Europe, et elle inquiète autant les sous-traitants que les analystes financiers.
PEA-PME : Maîtriser l'achat d'actions non cotées en bourse
Le Plan d’Épargne en Actions (PEA) et sa déclinaison PEA-PME sont des outils puissants pour investir tout en bénéficiant d’un cadre fiscal attractif. Mais attention : quand il s’agit d’actions non cotées, la mécanique se complexifie. Un récent litige illustre l’importance… d’une simple date.
Déchéance du terme : les garanties d'assurance emprunteur subsistent
Lorsqu’une banque prononce la déchéance du terme d’un prêt, l’assurance emprunteur continue-t-elle de jouer en cas de sinistre postérieur ? Un cas récent rappelle qu’en l’absence de clause expresse dans le contrat, l’assureur doit maintenir sa garantie.
Assurance vie : les héritiers du bénéficiaire peuvent-ils toucher les capitaux sans clause expresse ?
La rédaction de la clause bénéficiaire en assurance vie est un exercice plus complexe qu’il n’y paraît. Un cas récent illustre un piège courant : la renonciation ou le décès du bénéficiaire ne transfèrent pas automatiquement les capitaux à ses propres héritiers, sauf si la clause le prévoit expressément.

